La cage disparait, elle s’intègre à son environnement et libère les oiseaux chanteurs, tant dans leurs chants que dans leurs mouvements.
Perchés sur un rocher émergeant d’une étendue d’eau, ils dialoguent, conversent, bavardent. Les éléments naturels viennent encercler, supporter la pièce et lui procurent un aspect plus organique.
La branche forgée qui supporte l’ensemble reprend le profil iconique de la cage à oiseau Reuge.
L’affichage numérique de l’heure sur le pourtour du socle et le cadran logé sous la cage apportent une nouvelle fonction horlogère à l’objet. Ses différents éléments sont travaillés en faisant toujours appel à des techniques déjà utilisées dans la mécanique d’art ancienne ou moderne. Suspendue dans une entrée spacieuse, elle rappelle les fameuses horloges de vestibule des belles demeures du XVIIIème.